Les États généraux du Progrès social ou la preuve par Lactalis
La très grave affaire Lactalis n’est pas un « accident industriel ». Elle est le produit d’un système de production et de distribution dangereux et insoutenable pour les salariés, les consommateurs et l’environnement, où le profit capitaliste est l’ultime et souvent seule loi qui vaille.
La très grave affaire Lactalis n’est pas un « accident industriel ». Elle est le produit d’un système de production et de distribution dangereux et insoutenable pour les salariés, les consommateurs et l’environnement, où le profit capitaliste est l’ultime et souvent seule loi qui vaille. Elle appelle de manière pressante à construire des alternatives progressistes. C’est tout l’objet des États généraux du Progrès social et la finalité du Congrès de notre Parti, car nous entendons être l’organisation qui contribue de manière décisive, à élaborer, à porter et à mettre en œuvre ces alternatives.
Dans cette affaire Lactalis toutes les questions au cœur des États généraux sont posées : l’emploi avec les suppressions d’emploi chez Lactalis et à la Direction générale de la consommation et de la répression des fraudes, les pouvoirs d’intervention des salariés à l’entreprise, les droits d’alertes et de retrait, la lutte contre les externalisations et le « lean-management », le respect des normes sanitaires et écologiques, l’organisation de la filière industrielle agroalimentaire, une autre utilisation de l’argent, un nouveau mode de production respectueux des travailleurs, des consommateurs et de la planète.
Elles seront débattues le matin dans les ateliers industrie, travail & emploi, et service public, ainsi qu’en plénière l’après-midi.
Ainsi ces États généraux, premiers actes du Congrès du PCF seront au centre de l’actualité et de la reconstruction d’alternatives. Ils sont à la disposition de ta participation active.
Yann Le Pollotec